Lundi, le 2 novembre le soir, une sorte d’attaque terroriste sur les rues de Vienne s’est soldé avec trois morts et plusieurs blessés. La cause de cette fussillade serait une série d’attaques dans six rues du centre historique, près d’une importante synagogue et de l’Opéra.
Le ministre de l’intérieur autrichien a déclaré que l’assaillant abattu était “une personne radicalisée”, proche de l’Etat islamique.
La premières deux victimes ont été un passant et une femme, morte de ses blessures à l’hôpital. La morte d’un autre homme a été annoncé mardi matin. On a fait état de quinze personnes hospitalisées, dont sept se trouvent dans un état grave.
La frontière tchèque prend des mesures
Les raisons de cette fusillade sont encore méconnus. On ne sait pas encore si c’était la synagogue qu’on visait ou pas.
En tout cas, la police viennoise a été mobilisée pour protéger les bâtiments importants de la capitale. Les enfants ont été dispensés d’école le mardi. En outre, les autorités demandent aux habitants de se protéger et de ne pas prendre les transports en commun.
De la même manière, la République tchèque prend des mesures. On mène des contrôles « des véhicules et des passagers aux postes-frontières avec l’Autriche, une mesure préventive à la suite de l’attaque terroriste à Vienne. ».