Certainement, au moins une fois dans la vie, on a lutté contre les trous de mémoire. On parle et tout à coup, on commence à balbutier, à hésiter, parce qu’on a oublié ce qu’on voulait dire. Dans un contexte familier ou informel, les trous de mémoire ne posent pas de problèmes. Toutefois, dans d’autres cas, cela peut être agaçant, générateur de peur ou de honte, comme un véritable cauchemar.
L’apparition des trous de mémoire
Il est possible qu’on ait bien préparé son discours et néanmoins qu’on soit interrompu par des facteurs qu’on n’a pas prévu. Le bruit dans la salle, le cri des enfants, les mouvements de l’auditeur sont des interruptions qui peuvent arriver et qui distraient quelquefois l’attention du parleur, surtout s’il est débutant. Si on ne gère pas bien la situation, il se peut que les trous de mémoire apparaissent, parce qu’on ne réussit pas à suivre le chaîne des idées.
Par conséquent, on doit les éviter le plus que possible.
La conscientisation des interruptions
Avant notre prise de parole, c’est utile de penser que les trous de mémoire peuvent arriver si on ne maintient pas son attention autour du sujet. Avec le temps, on apprend à ne plus être vulnérable aux stimuli extérieurs.
Une trou de mémoire n’est pas une catastrophe
Certains d’entre-nous tendent à surestimer l’effet d’une trou de mémoire, en lui liant d’une ruine totale. Ce qui est vraiment erroné, parce que les trous de mémoire sont aussi présents dans des discours quotidiens. Si on connait bien son sujet et on veut développer une discussion spontanée, les lapsus ne constitue plus un problème. Il ne faut pas être rigide ou donner à un trou de mémoire une importance plus grande qu’elle mérite. Soyez naturel, décontracté. Au lieu de balbutier, prenez en silence 10 minutes pour retrouver vos pensées. Personne ne sera pas dérangé par ce courts moments de pause.
Le grand avantage du parleur
L’auditeur ne perçoit pas un discours de la même manière que le parleur. En effet, personne ne connait pas ce que le parleur veut dire, mentionner ou exemplifier. Alors, les spectateurs ne savent pas les idées qu’on avait l’intention de dire, mais qu’on a oublié. Si on arrive à une idée qu’on ne sait pas exactement comment expliquer, c’est mieux de passer au point suivant au lieu de se bloquer.
Les notations
Pour éviter l’apparition des trous de mémoire, notez les idées principales que vous devrez développer. Ne rédigez pas le discours entier, mais seulement les points qu’il faut absolument mentionner. De cette manière, on a des chances encore plus petites de se perdre.
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