Constantin Brancusi a été l’un des plus grands sculpteurs du monde, en étant considéré le père de la sculpture moderne par beaucoup de historiens. Sa manière de créer, en utilisant la renonciation des détails, la simplicité pour exprimer la complexité a marqué le parcours historique de l’art et a jeté les bases de la sculpture moderne. À l’occasion du 146-eme anniversaire de son esprit créateur, nous vous invitions de lire quelques informations sur la vie et l’œuvre de ce grand sculpteur.  

«Crée comme Dieu, ordonne comme un roi, travaille comme un esclave ! »   

Constantin Brancusi
source: https://fr.wikipedia.org/

Constantin Brancusi – un parcours impressionnant 

Le 19 Février 1876, dans le village Hobița, Constantin Brancusi est né. Il etudie à l’Ecole des Arts et des Métiers de Craiova, et puis il est accepté à l’École Nationale de Beaux-Arts de Bucarest. Le talent artistique de Brancusi ne peut pas passer inaperçu, et à l’âge de 27 ans, il reçoit sa première commande, c’est-à-dire de réaliser le buste du général Charles D’Avila.  

En 1904, Brancusi décide de quitter la Romanie et il arrive au Paris où un an plus tard, après une période difficile pour lui, Brancusi reçoit une bourse et il étudie à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Pendant quelques mois, il travaille dans l’atelier du grand sculpteur Auguste Rodin, mais Brancusi refusera de rester à son atelier, en disant que « Il ne pousse rien à l’ombre des grands arbres ».

La décision de quitter l’atelier de Rodin se rélève être favorable, et dans les années qui suivirent, il s’affirme dans le monde de l’art, en étonnant les observateurs grâce à l’esprit innovant et inhabituel de sa création. Des expositions montrent ses sculptures. Parmi ses œuvres le plus célèbres sont : “Le Baiser”, “Mademoiselle Pogany” qui a été inspirée par Margit Pogany, qui a été son bien-aimée, “Princesse X”, qui a suscité la controverse au moment de l’apparition, “Maiastra”, qui représente un symbole du vol qui délivre l’homme des limites matière inerte, comme il avoue,  “Muse endormie” (1928), “la Colonne sans fin” (1938), “La Table du silence”, “ La Porte du Baiser”.  

Brancusi a réussi à faire la pierre, le bois et le bronze dire une histoire, avoue une foi et être “l’expression de la pureté universelle”. Il est mort le 16 Mars 1957, au Paris. Son atelier dont il a dit qu’il est “le premier laboratoire de beauté” a été reconstitué et peut être vu au Centre National d’Art et de Culture Georges-Pompidou, Paris.  

 

Constantin Brancusi - La porte de baiser

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