En France, les initiatives citoyennes se multiplient face à l’épidémie de Coronavirus. C’est bien le cas d’Emma, devenue l’ange à vélo pour les enfants de son arrondissement. Pour ceux-ci, elle fait des livraisons de produits alimentaires. En même temps, elle cherche des abris pour les plus pauvres et garde les enfants des soignants. Voyons donc, comment cette jeune femme s’engage pour les autres !  

Dans le deuxième arrondissement de Lyon, Emma est institutrice à l’école Alix. Pendant cette période de crise sanitaire, elle est devenue bénévole. Quand elle ne s’occupe pas des enfants du personnel sanitaires à l’école (chose déjà impressionnante), elle multiplie les activités à cause sociale.

Sous les ails d’Emma, il y a désormais onze familles sans abri. Ce sont des familles de son école, avec des petits enfants, dont Emma est devenue protectrice. En plein pandémie elle a appelé les autorités pour cette cause. C’est ainsi que la jeune femme a réussi à trouver un premier abri dans la vielle caserne des pompiers de Saint-Priest, puis dans un hôtel de la préfecture du Rhône (maison de la veille sociale).

Sa contribution ne s’arrête pas la, car Emma va donner aussi 100 ou 150 euros par semaine pour chaque famille sans abri. Cette donne fait partie d’une autre initiative citoyenne qui est devenue très populaire a Lyon. Parmi les parents des élèves de son école, il y a pas mal déjà qui ont donné pour les démunis. La source de ces argent, ce sont les goûters ou des petits-déjeuners scolaires, tout aussi qu’une cagnotte en ligne.

Emma part faire sa livraison, ses paniers sont remplis de viennoiseries offertes par une boulangerie et d’un repas pour 4 personnes.

L’ange à vélo :

Emma est aussi impliquée dans l’association #PourEux comme livreuse à vélo. Après avoir découvert le mouvement a l’aide d’un ami, Emma n’as pas tardé. Elle est devenue tout de suite livreuse. À Lyon, comme dans les autres villes françaises, ou la majorité des restaurants et d’autres sources de nourritures sont fermées, la situation n’est pas rose. Elle est devenue tout de suite livreuse. Mais comme elle ne pouvait rester les bras croisés a l’appel de ses élèves dans une telle période, elle a fini par livrer la nourriture elle-même.

« J’entends les enfants de mon école crier à l’aide en nous disant qu’ils n’ont pas d’argent et qu’ils n’ont pas à manger. Je n’ai pas envie d’avoir ces morts sur la conscience ».

L’espoir d’Emma, c’est que les gens vont apprendre les laissons de cette crise sanitaire. Elle est très fière d’ailleurs de la solidarité crée à Lyon dans un temps court, mais reste inquiète pour la sorte de ces enfants après la crise.

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