Guerre ou humanité ? Quelle voie choisir ?

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La guerre est un désastre de l’humanité. C’est la perspective que j’avance, celle qui me caractérise et celle que je vais développer dans cet article. D’ailleurs, ma conception sur la guerre se résume au fait qu’on doit l’éviter, afin de vivre en paix. Alors, comment lutter contre la guerre et contre ses effets dévastateurs ?

Je dirais qu’avant de répondre à cette question, il est bon d’avoir une image générale de ce qu’une guerre signifie. Et, en fait, je pense qu’on connaît tous ce genre de tableau horrible, qui donne des sentiments d’horreur, de souffrance. C’est l’une des raisons pour lesquelles la guerre doit être absolument  « effacée ».

Tout d’abord, il faut prendre conscience que la guerre est associée à la violence. C’est clair que lorsqu’on entend la notion de « guerre », on parle, entre autres, d’une force physique, d’une brutalité « nécessaire » sur le camp de bataille. Donc, pourquoi être violent et blesser l’autre, au lieu de garder la paix, pour le bien de tout le monde ? C’est un fait auquel il faut toujours penser, un fait qui pourrait mener, selon moi, à la notion d’empathie. Si on peut faire de l’empathie une valeur essentielle dans notre vie, je suis sûre qu’on se trouve sur le bon chemin.

De plus, les conflits apportés par une guerre impliquent le plus souvent (ou presque toujours) l’existence des victimes. C’est vrai que ceux qui choisissent de se battre sur le front ont peut-être dans leur tête l’idée que se sacrifier sur le champ de bataille, c’est servir leur patrie. Il s’agit, autrement dit, d’une attitude spécifique, celle du patriote authentique qui donne sa vie pour le bien des autres ; cette perspective implique de la force de caractère, du courage, une bonne maîtrise des émotions et encore plus de facteurs. Et puis, tout le monde n’est pas capable de faire un tel sacrifice.

A part ces arguments, je suis parfaitement consciente qu’il y a des situations dans lesquelles la guerre est « la seule solution » pour empêcher qu’une autre catastrophe ne se produise ; c’est le cas des guerres de conquête, par exemple.

Ce que j’ai voulu accentuer c’est en fait la possibilité de recourir à d’autres moyens que la violence pour résoudre certains problèmes d’ordre social ; enfin, c’est toujours par la bonté et par l’empathie qu’on retrouvera la paix dans le monde.

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