J’ai perdu du sang en courant pour mon propre cri au secours.
Je suis venu pour halluciner et voir la vie sortir de moi à travers des milliers de fissures dans mon cœur. Ce que tu m’as fait quand tu l’as amenée au manoir. J’ai essayé de réparer et d’obtenir le liquide vital de quelqu’un d’autre, mais je n’étais compatible avec personne. Mon âme refusait de t’ignorer. Dans la poche de la poitrine était une photo de nous, sale, avec des gouttelettes de sang, qui ont eu lieu du cœur. Tu t’en rappelles ? J’étais et je suis toujours compatible avec toi, seulement toi. Mais es-tu toujours ici pour me donner de ton propre sang avant qu’il ne soit trop tard ?
Non, la réponse est non !
Ou je mourrai en pleurant avec des larmes rouges de sang perdues involontairement. Ou vais-je mourir en pleurant avec des larmes rouges, qu’est-ce qui fait semblant à travers mes yeux verts, sans vie maintenant que tu es parti ? Les yeux verts… Quelle pitié, quels souvenirs…
Mon cœur n’a plus de fonctions…
Probablement il est blanc, comme celui qu’on a vu dans ce photo… Il s’arrête; il part de sa fin et est hors service comme une vieille machine sans combustible. Je n’en suis pas surprise.
Sans amour
Et si je vis encore involontairement de gauche à droite, quand je freine soudainement- involontaire, impair. À cause de ça j’ai perdu du sang… Complètement.
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