Le Vieux Continent transpire et les citoyens se suffoquent sous les températures élevées enregistrées ces derniers jours.
La canicule continue de sévir dans les régions de Sud et de l’Ouest du continent, où le mercure a dépassé 40 degrés Celsius. Les effets de la canicule sont atroces pour l’humanité, la flore et la faune. En Espagne, à 7h du matin, sont 37 degrés mesurés et au Royaume-Uni, plus de 40 degrés sont attendus, des températures jamais vues outre-Manche, un pays qui n’est pas du tout habitué aux grandes chaleurs. À Nantes, le thermomètre est monté à 42 degrés, en touchant le sommet de la canicule dans la région. À cet égard, la canicule et la sécheresse sont de moins en moins supportables pour la population et elles ont des conséquences comme les feux de forêts qui touchent des pays comme la France, la Grèce, le Portugal et l’Italie. Par exemple, en Gironde, plus de 20 000 hectares ont été détruits par le feux et plus de 15 000 personnes ont été évacuées. En Espagne, cette semaine, on a enregistré un autre décès d’un coup de chaleur. À cause de ces incendies, des espèces des animaux se trouvent en danger, comme la tortue d’Hermann, une espèce déjà menacée, car beaucoup d’animaux ont perdu leurs vies. Faire un bilan serait impossible parce que un grand nombre d’insectes et d’animaux sont morts brûlés.De plus, les incendies ont un impact néfaste sur la santé, en augmentant le risque de développer un cancer de poumon ou même de cerveau.
Le monoxyde de carbone des incendies a été propulsé dans l’atmosphère et à provoqué des intoxications, notamment parmi les citoyens qui vivent dans les régions affectées. Leur évacuation est absolument nécessaire mais beaucoup d’entre eux refusent de quitter leurs maisons. Un autre fait concernant de la fumée est un transportation des virus et des bactéries, qui représente un risque d’infection en cas d’inhalation. Ensuite, les substances toxiques émanés, principalement le monoxyde de carbone, dégradent de plus en plus la qualité de l’air et la couche d’ozone.
Ces températures sont le résultat de la négligence de la nature et du réchauffement climatique. Les incendies ne sont pas seulement les seuls effets néfastes de l’augmentation des températures, mais aussi les phénomènes météorologiques extrêmes, la montée du niveau des mers à la suite de la fonte des glaciers. Il faut tout changer pour éviter une possible catastrophe naturelle.
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