La culture, l’eau du cerveau

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Depuis la nuit des temps, les gens ont été intéressés à enrichir la culture. À lui donner d’autres formes. À la protéger afin qu’on perçoive ensemble la beauté de l’évolution humaine. Alors, de nos jours, elle est devenue une extension de l’intelligence. Un monde magnifique dont seulement les gens voyants la grandeur du détail peuvent bénéficier.

Tout d’abord, l’intelligence culturelle est celle qui ouvre nos yeux vers l’absolu. Le système de l’éducation a le devoir d’apporter la passion et la soif de la connaissance à la portée de petits enfants. Cela en créant cette curiosité assidue qui ne mourra pas tout au long de leurs vies. Néanmoins, l’échec de cette obligation naît des lacunes énormes dans la perception de la jeune société. Des lacunes qu’ils ne réaliseront jamais et qu’ils ne sauront pas remplir.

C’est le cas des adolescents qui ne voient pas l’élégance d’une pièce de théâtre.

Qui ne sentent pas la magie des couleurs vives d’une peinture ou l’émotion derrière les notes d’un piano et d’un violon. Malheureusement, cette vision négative de la culture s’est transformée dans une réalité cruelle. En même temps, dans les écoles, les matières comme l’éducation musicale ou la peinture sont encore traitées avec de l’indifférence. Cela à cause de leur façon de présentation.

De plus, a des retombées très graves sur la société de l’avenir. Une société qui s’éloignera d’une bénédiction de l’humanité et qui ne sentira pas son manque

 Les gens sont trop occupés à médire les habitudes de l’autrui.

À être au courant avec l’évolution de tous les scandales télévisés, à s’intéresser toujours à leur apparence au détriment de l’essence. Ces gens-là ne pourraient jamais comprendre l’effet de la culture sur la façon de percevoir l’existence humaine.

L’amour pour la soif de connaissance crée une sensibilité envers tout ce qui se passe autour de nous. Il améliore nos vies en nous aidant à trouver le bonheur dans les détails au détriment de quelques visions entourées du brouillard, le brouillard de nos propres espoirs. Quel malheureux soit celui qui ne trouve pas la paix dans une nuance de bleue avec laquelle Claude Monet a capturé la mince ligne entre la mer et le ciel, tous les deux infinis!

Aussi crois-je que la beauté de la culture est gardée dans le bout de l’arc-en-ciel, un trésor véritable, nécessaire regardant l’espoir d’une vie accomplie, mais que bien des personnes ne sont pas capables d’atteindre, vu que leurs pensées sont enfermées dans un boucle d’indifférence.

Quelque poétique semble-t-il, je pense qu’on a besoin de culture pour notre cerveau. Comme on a besoin d’eau pour tous les autres organes, la culture représentant la clef qui ouvre la perception vers l’absolu.

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