Comment peut-on définir la timidité ? Quelles sont les indices relevant ce sentiment et comment peut-on le maîtriser ? Cet article se propose de montrer une approche d’ensemble sur les traits caractéristiques de la timidité, afin que les gens puissent la surmonter.
On n’est pas du tout sûr de soi-même. On est incapable de parler devant un public. Et on a du mal à s’exprimer oralement ou même à regarder les autres dans les yeux. Ce ne sont que quelques signes qui montrent que quelqu’un est « accablé » par la timidité.
Il existe deux dimensions de cette problématique assez rencontrée dans la société contemporaine, surtout chez les adolescents. La première vision se penche sur le côté mauvais de la situation. Selon les cas, la simple timidité peut évoluer et arriver jusqu’à l’anxiété ou à la phobie sociale. Dans un tel contexte, il faut être conscient que les effets de ses sentiments sont encore plus suggestifs. Ils peuvent affecter sérieusement la personnalité de quelqu’un ainsi que le déroulement de sa vie. On devient à peu près fou, de peur que quelque chose de mal n’arrive, à cause de la timidité dite « excessive ».
La deuxième perspective met en fait en lumière le bon côté des choses. Quelqu’un qui est timide est aussi sympathique parfois. Ici, il s’agit d’une timidité innocente, qui incite à la connaissance de la personnalité de quelqu’un en profondeur. C’est le cas par exemple d’une première rencontre avec quelqu’un d’important ou bien d’un rendez-vous avec la personne qu’on aime. C’est toujours quelque chose qui se passe parmi les adolescents.
En voyant les deux images conçues par cette émotion, est-ce qu’il est vraiment nécessaire de la combattre ?
De ma perspective de personne timide, je peux dire qu’il est clair qu’on doit simplement apprendre à maîtriser la situation. Les solutions sont diverses : le coaching, l’expression graduelle de ses sentiments, l’essai de remettre ou de recevoir des critiques sans ressentiments.
Vice ou vertu, cela dépend de la perspective dans laquelle on choisit de se situer par rapport à la problématique en question. Il faut tout simplement s’habituer à vivre avec cette émotion assez forte qui est la timidité.
« Par la raison que la timidité est souvent du courage, la présomption est souvent lâcheté. » (Victor Hugo)
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