Dès l’an 1960, quand la taux était à une échelle de 2,7 millions de gens, le suicide a représenté un problème mondial, notamment parmi les jeunes. Le fait de finir sa propre vie, d’abandonner le moindre d’amour, de la compréhension et de la compassion de ceux qui l’entourent fait perdre la vie environ d’un million de gens annuel. Le suicide – solution définitive pour des problèmes temporels.
Ils ont « du sang faible »…
Certains disent, mais je les considère forts. Ils ont du courage et lorsqu’ils sont arrivés d’y mettre fin comme ça, ont crié pour un coup de main.
Peut-être ils ne l’ont pas fait à voix haute. Mais ils ont essayé plusieurs années de combattre la dépression, la solitude, les problèmes quotidiens, ceux psychologiques et médicaux. Ils ont lutté avec le suicide.
Ils ont lutté jusqu’à la dernière seconde, ont essayé de combattre la douleur, mais ils n’ont pas réussi parce que beaucoup d’entre nous n’ont pas observé comment on peut perdre une vie ou peut-être parce qu’on a passé près d’eux indifféremment. Dans le passé et même aujourd’hui, la dépression était et va être considérée un caprice, une blague, en tant de dérision être nommée « la maladie des riches ».
Mais une autopsie…
Beaucoup d’études ont démontré que les plus grands faits de risque sont les problèmes psychologiques, de santé et l’abus de substances nocives, par exemple : la consommation excessive d’alcool ou des drogues, qui, à la fin, vous transforme dans un diable impulsif et vous arrivez à croire que rien n’a plus de sens, qu’il serait mieux si vous n’existiez plus, que la Terre serait un lieu meilleur sans toi.
Quand une âme part d’entre nous, en arrière il y a ceux qui l’ont aimée, les amis, la famille. Il reste à la suite le regret que « peut-être j’aurais pu faire davantage pour lui/elle », mais à la fin, tout ce qui se passe est une autopsie psychologique sur la base de quelle les docteurs peuvent dire « calmes », « il a été un suicide ».
La maladie – l’éternel problème qui a toujours donné des points d’interrogation
Le besoin des croyants de supplier une force divine pour les aider, les protéger est aussi présente, malheureusement, même dans les cas où le suicide semble la dernière solution.
L’anxiété, la dépression, la bipolarité et la schizophrénie vous font sentir différent des autres et implicite mènent à l’auto-isolement, particulièrement dans le cas des gens de plus de 30 ans.
Les âmes perdues dans le néant ont besoin d’attention, d’amour, d’être soignées et premièrement de gens qui veulent les aider. Parfois il est nécessaire un traitement médical.
La société de nos jours juge, et le pire que vous pourriez faire et de rire de quelqu’un qui demande de l’aide.
Les gens ont besoin de plusieurs modèles et moins de critiques.
Parfois, on ne pense pas que beaucoup d’entre nos amis se trouvent dans telles situations. Qu’ils se sentent bloqués, attrapés dans une salle d’où ils ne peuvent sortir plus et puis ils commencent à faire ce qu’il est plus simple pour eux dans ce moment-là. Ils commencent à trop consumer de l’alcool ou des drogues, de se détacher de ce monde extérieur, de perdre le moindre de confiance en soi, et à la fin en l’humanité.
Il y a beaucoup de cas où la famille, celle qui devrait soutenir, est celle qui les accuse et ils trouvent de l’aide et de l’entente venant des étrangers.
Une histoire triste
En habitant à la campagne, toutes les histoires se répandent vite. Quand il se passait quelque chose, tout le village le savait. Et malheureusement, un jour, j’ai entendu qu’une femme s’est suicidée derrière la maison où elle habitait avec ses deux enfants. À ce moment-là les enfants avaient 7 et 10 ans.
Personne ne se douterait…
Que celle dame ferait une telle chose, mais peu de gens savaient son histoire. Ils ne savaient que, depuis toute petite, avait assisté au suicide de sa mère. Elle a vu son parent asphyxié dans la cuisine. Les gens ne savaient quels diables la suivraient et que sa dépression était héréditaire, jusqu’au jour où elle a tout quitté. La vie, le boulot, les enfants qu’elle avait.
C’est un cas qui concernait la compétence des institutions médicales spécialisée dans ce domaine. Peut-être si elle demandait de l’aide psychologique et psychiatrique elle serait encore près de sa famille et ses amis.
Ces beaux gens ont besoin du soutien, de quelqu’un pour les aider, d’un ami pour les écouter. Le suicide est une solution définitive pour des problèmes temporels.
Le même a été pour un Hollandais de 19 ans, appelé Ruben Peters.
Salut, Ruben ! Merci d’avoir accepté cet entrevue !
Salut, Laura ! Je te remercie de faire mon histoire publique afin d’aider d’autres gens !
Tout d’abord, j’aimerais savoir qu’est ce que t’as déterminé d’arriver si loin, qu’est ce que t’as déterminé de vouloir finir ta vie ?
Ce qui m’a déterminé vouloir me suicider était un désir maniaque (la mauvaise partie d’être dépressif), mélangé avec beaucoup des disputes et une relation abusive, dont je préfère de ne pas parler. Il s’est abîmé profondément en moi que j’ai perdu le contrôle et étant embarrassé et dépressif j’ai pris une surdose de pilules.
Désolée d’entendre cela. Qui t’a aidé dépasser cet impasse ?
Un joggeur qui, par hasard, a passé auprès de moi, m’avait vu et m’a sauvé la vie. Puis les parents, toute la famille et un un petit groupe d’amis, à qui je serais redevable à jamais pour tout ce qu’ils ont fait pour moi.
As-tu encore des mauvaises pensées de finir ta vie ?
Parfois j’ai encore telles pensées, qui, plus exactement, ne sont pas aussi bizarres qu’elles semblent, grâce à la dépression. Mais est-ce que je veux le faire encore ? NON ! SÛREMENT NON !
Maintenant, après t’as dépassé cet étape, qu’est ce que tu penses du fait lui-même ?
Je ne crois pas qu’il est une solution. Il nous arrive beaucoup de choses. On est bloqué, attrapé. Mais, par finissant sa propre vie, on offre ces sentiments à autre 10 personnes à côté de nous. Néanmoins, je considère que jugeant ces gens qui l’ont fait, est le pire qu’on peut faire. Putain, donne-leur un repos !
Au moment, vas-tu chez le psychologue ou chez le thérapeute ?
Oui, au moment je fais de la thérapie. Je vais chez le thérapeute hebdomadairement. Il m’aide à apaiser mon esprit de poids des problèmes de cette semaine-là. Il m’aide et il me conseille en ce qui concerne n’importe quel impasse que je dois dépasser.
Je suis heureuse d’entendre que tu reçois un traitement correct et que t’as changé ta manière de penser. Est-ce que, toutefois, pourrais-tu me dire plus de choses sur ta période dépressive et sur le masque que tu as montré au monde ?
Alors, quand tu te trouves en dépression, il est trop difficile de penser que les autres veulent t’écouter. Ou qu’il y a quelqu’un qui s’intéresse vraiment de toi. Et… C’est impossible de dire constamment aux gens tes problèmes.
Il est difficile de te présenter devant eux comme ça, d’être vulnérable… Donc tu arrives à porter un masque afin que les autres ne sachent qu’est ce que tu sens vraiment. Mais pendant longtemps, cette chose rend tout plus difficile, et dans certains moments tu arrives à te haïr toi-même. J’ai arrivé à écrire quelques poèmes pour me détacher de tels sentiments que j’avais.
Finalement, qu’est-ce que tu recommanderais à ceux qui lisent cet entrevue et plus à ceux qui vivent des situations pareilles ?
Hmm… Je veux leur dire qu’il y a des raisons pour lesquelles ils méritent vivre. Des amis, de la famille, de l’amour (qui vient quand on ne s’attend pas). Un conseil que je suis moi aussi est qu’il ne faut pas à ce que les autres pensent sur votre cri au secours.
Faites de la thérapie s’il en est besoin et osez accepter qu’il vous faut de l’aide !
Celles-ci sont les poèmes dont Ruben a écrit a lutté contre la dépression et les pensées suicidaires :
You know you’re not fine.
Tu sais tu ne vas pas bien.
But your pain doesn’t matter to them.
Mais ta douleur ne compte pas pour eux.
You know you struggle to deal with yourself crying.
Tu sais tes troubles de toi-même pleurant.
But of hearing about that no one’s a fan.
Mais entendre que personne ne s’y intéresse.
So every morning you put on your mask.
Alors chaque matin tu te mets un masque.
You act like nothing is wrong.
Tu fais semblant que tout va bien.
If only they wanted to listen to the pain inside you.
Seulement s’ils voudraient écouter la peine de ton intérieur.
You, feeling it ever so strong
Tu, le sentant une fois si fort
I put my mask on
Je mets un masque
And look in my mirror
Et je regarde dans le miroir
I put a smile on my face
Je mets un sourire sur mon visage
To hide all my terror
Pour cacher toute ma crainte
I don’t want to show it
Je ne veux pas l’exposer
But why you ask
Mais pourquoi tu me demandes
Well, you see
Eh bien, tu vois
In reality nobody gives a fuck about me
La vérité est que tous se foutent de moi
So on my inside I drown in my emotions
Et à l’intérieur je noie mon chagrin
And wish that someone cared
Espérant que quelqu’un s’en foutrait
The outside may act all ferocious
L’extérieur peut sembler tout féroce
But actually I am scared
Mais au fait j’suis effrayé.
I laugh to hide my pain.
Je ris pour cacher ma peine.
I think ‘please can someone end my life’.
Je pense « s’il vous plaît quelqu’un de me tuer »
I cry my nights away.
Je pleure mes nuits
Who am I even trying to fool?
Qui veux-je tromper ?
Myself or some other fucking tool?
Moi ou un con outile?
I don’t want to show that I’m depressed.
Je veux pas montrer que je suis dépressif.
I don’t want to show that I am stressed.
Je veux pas montrer que je suis stressé.
I want people to think of me in a happy kind of thought.
Je veux que les gens pensent d’une heureuse pensée à moi.
Even though happy is all that I am not.
Même si heureux est tout ce que je suis pas.
Si vous lisez cet article, peut-être vous apprendrez de ne plus être indifférents en ce qui concerne le suicide.
Vous aurez plus de compassion pour ceux qui confrontent tels problèmes. Ou, si vous sentez que vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas de le demander et de nous faire confiance, à ceux qui vous entourent, même si nous sommes juste des inconnus.
Le suicide est une solution définitive pour des problèmes temporels. Demandes de l’aide !
Les jeunes ont beaucoup de problèmes, mais le suicide n’est pas une solution. Si vous voulez savoir plus sur leurs problèmes, nous avons ici la solution !
Auteur : Stefania Birgaoanu
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