« Les controverses féministes », il y a quelques jours j’ai été invitée à participer à cette collecte. Celle-ci est organisée par une équipe de volontaires lycéens de la ville de Caracal, en collaboration avec la fameuse ONG nommée GirlUp. Celle-ci mène des activités avec le but d’éduquer les jeunes filles. L’ONG montre par des ateliers, camps d’été et plusieurs d’autres projets intéressants, la façon dont elles peuvent exercer leurs droits et comment prendre l’attitude contre l’injustice. Allons voir quelles sont les controverses féministes dans la vision des jeunes !
L’idée d’où a commencé le projet «Les controverses féministes» est, bien compris, le féminisme. Plus que ça, le projet est du au puissant désir des ados organisateurs de mettre en lumière l’importance d’égalité entre les sexes dans la société actuelle.
J’écris cet article parce que je sens qu’il est important de promouvoir les jeunes intelligents, doués et déterminés. Il faut qu’on fasse leurs voix entendues. Parce qu’ils ont eu le courage de prendre l’initiative. Parce qu’ils ont compris que le monde ne changera tout seul, sans l’implication de ceux qui représentent l’avenir.
Dans l’inauguration de l’événement «Les controverses féministes» on a entendu les mots émouvants de l’ambassadrice Andreea Pancu. Andreea este élève dans le terminal au Lycée Théorique « Ioniță Asan », grâce à laquelle il était possible de réaliser cet activité. On a regardé une pièce ‘de théâtre, inspiré par le livre «La servante écarlate », écrit par Margaret Atwood.
Les lumières ont été éteints,el le silence a occupé l’amphithéâtre entière. Les spectateurs étions accrochés par la curiosité en suivant la pièce avec d’intérêt. On a découvert l’histoire de la protagoniste. Une jeune servante attrapée dans la rame d’un tableau qui illustre un monde conduit par un régime totalitaire. Les femmes sont les victimes principales. Elles ont été privées des droits fondamentaux et se sont perdues l’identité. Traitées comme des simples propriétés, dont le seul but était l’obéissance à ceux ayant du statut statut súperior. C’était crucial que les servantes soient fertiles et dévouées aux leurs maîtres. Parce qu’un de leurs devoirs très importants était de donner des enfants au pays, à cause de la fertilité faible dont l’Amérique souffrait ces temps-là.
Les séances suivantes de la scène ont montré le moyen dans lequel les femmes ont étés vues et traités dans la société ledite. Même-si elles étaient les victimes des injustices, elles étaient considérées responsables de leur situation. Cet idée a été mieux façonnée dans le moment d’une confession, dans laquelle une autre servante a avoué un évènement qui lui ait marqué l’existence entière. Mais le prêtre et les autres servantes l’ont attaqué avec des mots durs. Des mots qui l’ont humiliée et l’ont accusée pour l’abus sexuel qui lui est arrivé dans le passé.
Le message de la pièce est très fort. Je crois que son intensité a été ressenti par la salle entière.
Exactement comme Andrée a aidé dans son discours. Juste après le monde systolique de « La servante écarlate » a disparu derrière le rideau, « l’égoïsme peut tuer des vies». Il y a juste quelques mots, mais des mots qui disent l’histoire des millions de femmes du tout monde. Des femmes qui ont été intimidées, discréditées, faites taire, maltraitées, abusées. Même plus, des femmes qui ont été convaincues que leur seul moyen de survivre dans la société est de se soumettre à des idéologies absurdes. Dit d’une manière, de se soumettre à des règles tacites. Des règles dans lesquelles les femmes doivent penser et agir d’une certaine manière. Cela si elles ne veulent que leurs noms soient sur toutes les lèvres, accompagnés par des mots méprisants. Et voilà porqoui ont apparu «Les controverses féministes» .
La collecte a continué avec un débat préparé par les élèves du club de débat du Lycée Théorique « Ioniță Asan ».
Les deux équipes ont parlé de la participation des femmes privilégiées aux mouvements féministes. Personnellement, j’ai trouvé les idées de l’Opposition plus à mon goût. Elle a affirmé que les personnes directement impliquées comprennent mieux les cas d’abus. Elles empathisent plus avec les autres victimes et le message qu’elles transmettent à un plus grand impact sur la majorité. De l’autre côté, l’équipe du Gouvernement a présenté des arguments solides pour la participation active des femmes privilégiées dans les mouvements féministes. De quelle manière ? En appuyant moralement les victimes et en adoptant une attitude de solidarité envers elles.
J’ai tant aimé le projet de mes copains que j’ai décidé de leur adresser quelques questions, pour apprendre plus sur ce qu’il s’est passé dans les coulisses et sur leur vision du féminisme.
En parlant avec Andreea, l’organisatrice de l’évènement «Les controverses féministes», j’ai découvert une jeune déterminée et empathique, qui a décidé que c’était son tour de s’impliquer plus dans ce genre d’activités, parce qu’elle veut vraiment faire une différence.
Comment est-elle commencé ta collaboration avec Girl-Up ? Quelle a été ton inspiration pour organiser cet événement et pourquoi notamment « Controverses féministes » ?
R: « Une amie m’a fait savoir que Girl Up Roumanie organisait des sélections pour trouver des ambassadeurs. Une fois que j’en ai trouvé plus des détails, j’ai décidé que c’était une expérience parfaite qui me permettrait d’essayer à passer à l’étape suivante de cet activisme. Et aussi d’apprendre plus sur les modalités dans lesquelles je peux m’impliquer activement pour changer la perspective du public. Dans ce qui concerne l’événement, mon équipe et moi, nous avons commencé les préparations dès octobre. Nous avons essayé de trouver un titre. Un qui exprime l’essence du thème abordé autant dans la pièce de théâtre que dans le débat et « Controverses féministes » nous a paru la meilleure option. »
A ton avis, quel impact a eu cette expérience sur ton développement personnel ?
R: « Tout d’abord, je savais dès le début que la qualité d’ambassadeur me déterminerait à me lancer vraiment au-delà de ma zone de confort. Toutefois, j’ai décidé d’y appliquer parce que je voulais gagner plus d’expérience. Et en outre, honnêtement, les dizaines d’heures que j’ai passé à organiser et à promouvoir cet événement ont valu la peine. J’ai rencontré des refus de parrainage. Et en plus, des affiches gâchées et différents commentaires négatifs concernant cette initiative. Mais une fois que j’ai vu comme tout c’est si bien passé, j’ai senti le plus puissant sentiment d’autonomisation que j’ai jamais senti. »
Quelle a été le plus grand défi que tu as rencontré au cours des préparations ?
R: « Probablement la faute de synchronisation. On a eu des rencontres avec les bénévoles et des répétitions avec les acteurs chaque semaine. J’ai dû non seulement trouver du temps pour chacune d’entre elles, mais aussi essayer de travailler et de progresser constamment. Cela même si, parfois, une grande partie de l’équipe était absente à cause des examens ou des cours supplémentaires. Mais je peux vous assurer que sans l’aide des bénévoles et des acteurs, l’événement n’aurait pas été possible et je suis extrêmement fière du résultat. »
Crois-tu que votre message ait eu l’impact souhaité sur le public ?
R: « J’espère que oui. Sincèrement, toute l’agitation de l’événement ne m’a pas permis de prêter tellement de temps au public. Mais j’ai observé à la fin que plein de gens ont apprécié notre effort, mais aussi l’intention. C’est une motivation pour garder mon rôle d’ambassadeur le prochain semestre. »
J’ai continué mon petite entretient avec Delia Constantinescu et Silvia Tudoran. Ces deux bénévoles, élèves de la première, qui m’ont fait comprendre l’importance du travail en équipe, de la consistance et du désir de réussir.
Comment décrirais-tu l’ensemble de ce cette expérience ? Est-ce que tu recommanderais à d’autres adolescents de s’impliquer aussi dans des activités de bénévolat ? Pourquoi ?
Voilà la réponse de Silvia : « Oui, bien sûr que je le recommanderais à d’autres aussi. Ça t’aide à développer certaines habilités ; comme le leadership, l’art de parler en public, la gestion. Ça t’aide beaucoup à mieux communiquer avec les gens qui t’entourent et à mieux les comprendre. En plus, on apprend à être patient avec soi-même et avec les autres. On apprend à faire face à des situations difficiles, de grand stress. Surtout car on est toujours entouré par des gens à des opinions différentes. En outre, s’ils veulent joindre ces activités de bénévolat, ils doivent avoir un but. Toujours. Tu dois premièrement te répondre à toi-même – « pourquoi ? ». Je pense que c’est le seul moyen d’aboutir à la réalisation du projet et d’attraire les autres. »
A la même question, Delia nous a répondu : « En tenant compte que c’était le premier événement que j’ai organisé à partir de rien, même si je m’attendais que ça soit compliqué, c’était encore plus difficile que j’avais pensé. Mais c’était très beau. Je recommanderais à tout le monde, peu importe l’âge, à faire du bénévolat. Ça te donne un sentiment d’accomplissement tout simplement parce que tu es conscient de faire quelque chose pour la société. Je pense que ces sont ces types des choses qui nous aident à nous développer et, même si faire du bénévolat prend beaucoup de temps, ça vaut tout à fait la peine ! »
Selon mes connaissances, il y a une nombreuse équipe au-delà de ce projet, donc il vous est sûrement arrivé de passer par des situations assez tendues. Comment avez-vous réussi à les dépasser ?
« C’était extrêmement difficile à dépasser les malentendus, au moins de mon point de vue. Peu importe la décision à prendre dans ces moments, il y avait toujours quelqu’un qui s’opposait, mais à la fin nous avons tous réussi à faire un compromis pour que les choses se passent bien. Je crois que c’était ma plus grande leçon. Le travail en équipe exige des compromis. » – Delia
Quelle est ta conception du féminisme et pourquoi est-il, à ton avis, si important dans notre société ?
Silvia : « Le féminisme parle de l’égalité de droits. Moi, en tant que femme, je veux avoir les mêmes droits que les hommes, pas être comme eux. Et, au même temps, je prends les responsabilités et les obligations qui accompagnent ces droits, au même titre que les hommes. Le problème c’est que beaucoup de gens pense que le féminisme c’est de la misandrie, c’est-à-dire haïr les hommes, ce qui est faux. Et moi, en tant que féministe, je ne pense pas que ça soit moral.
Non seulment, ce sujet du féminisme est devenu dernièrement une de mes priorités et je pense que je pourrais passer des heures à parler de «Les controverses féministes» sans interruption. De l’autre coté, même s’il est parfois fatiguant d’expliquer aux gens des concepts et ou des choses basées sur des faits réels. Puis, ils tiennent à te contredire en disant : « Tu es extrémiste » ou « Vous vous êtes enivrées d’autant de démocratie, les femmes ont déjà des droits en Roumanie ». C’est justement la raison pour laquelle le féminisme est important dans la société actuelle. C’est vrai, on a des droits. Mais ils ne sont pas respectés par qui et quand ils devraient d’être respectés. »
Delia : « Je considère que le féminisme est un mouvement qui encourage la diversité. Au-delà du genre, race, orientation sexuelle, on est tous des gens, on doit nous respecter nous soutenir les uns les autres, mais beaucoup de gens l’oublient. C’est important de lancer un cri d’alarme et de sensibiliser les gens en ce qui concerne ce sujet. Il y a eu beaucoup des événements tragiques à cause de la discrimination et je ne pense pas qu’il y ait quelqu’un qui veule vivre dans un monde où on se sent en danger. »
J’ai discuté aussi avec Loredana Stoian, actrice dans la pièce du théâtre « La servante écarlate », qui, même-si elle n’avait aucun contact avec le jeu d’acteur jusque là, elle a réussi d’impressionner le public et de transmettre des forts émotions à tous.
Pour le début, comment as-tu découvert la passion pour le théâtre? Qu’est-ce que t’a attiré dans ce domaine et pourquoi tu as choisi de jouer dans cette pièce ?
R:« J’ai voulu faire quelque chose de nouveau, et j’ai décidé de jouer dans cette pièce. » Cela a été aussi mon premier contact avec le monde du théâtre. La pièce a fait partie de l’événement «Les controverses féministes», organisé par une amie proche que je voulais soutenir, en m’impliquer comme volontier, et aussi comme actrice. Cela a été une expérience unique, et dans l’avenir je penserai de participer encore à des événements comme celui-ci. ».
Justement parce que j’ai voulu découvrir comment l’expérience à été ressentie par plusieurs de gens, j’ai discuté avec un des débatteurs présents au démo.
Alex Drăghia, élève dans la troisième, nouveau dans le monde du débat aussi, a démontré au public, par ses mots et son attitude, qu’il mérite d’être derrière le pupitre.
Comment as-tu découvert la passion pour le débat et quel impact penses-tu a eu le démo sur le public ?
R: « Ma passion pour le débat? Elle a des racines. Depuis la cinquième j’ai flirté avec l’idée du débat et élocution, mais je ne pouvais effectivement m’impliquer dans un club. Mais, avec le temps, j’ai senti des plus en plus le fait que là est ma place, le sois-disant «conflit académique » est pour moi.
Quant à l’impact du démo… Le public doit être captivé. En fait, c’est le but du débat, soit que le public sache quelque chose sur le sujet ou soit qu’il n’en sait rien, il faut qu’il comprenne et qu’il est convaincu par une des équipes. Je crois que l’effet est plus facile d’être discuté par le public lui-même, mais derrière le pupitre, le sentiment que je crois de l’avoir transmis est l’un inédit et subversif. ».
Reccomanderais-tu aux autres ados de s’inscrire dans un club de débat? Si oui, pourquoi? Quelles penses-tu que sont les avantages et comment t’a aidé cet expérience?
R: « Certainement. Par le débat on ne comprend Just l’action lui-même. On comprend un effet domino. Vous commencez par essayer et par voir votre potentiel d’orateur. Vous continuez de l’explorer, puis vous ne cessez plus d’apprendre des nouvelles stratégies d’élocution et d’autres artifices. Le débat vous façonnera constamment, comme bonhomme, comme locuteur et non seulement. Moi, le débat m’a beaucoup aidé avec la confiance en soi et l’améliorer ma propre image que j’avais sur moi-même. Par cela je me réfère au fait qu’il m’a aidé de découvrir des choses importantes. Mes vraies habilités et de mieux comprendre mes faiblesses, aussi commes mes points forts. Ce club m’a offert aussi la possibilité d’améliorer mes défauts et de devenir la meilleure version de moi.».
Celles-ci étant dites, je suis impatiente d’organiser un autre évènement avec mon équipe brillante. J’ai confiance qu’ils impressionneront encore une fois par leur créativité et leur dévouement.
Auteur: Cătălina-Teodora Bădoi
Photographe: Delia Georgiana Constantinescu
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