Le samedi 4 avril, le Premier ministre Viktor Oban a visité l’institution pour les détenus les plus dangereux et les peines les plus sévères situé dans le nord-est de la Hongrie.
Ils sont appelés à lutter contre le coronavirus en produisant des masques.
La prison de Sátoraljaújhely exploite son atelier à 106 % de ses capacités.
Les détenus, dont ceux écroués dans le cadre d’une préventive, seront en mesure de travailler 24h sur 24. Ils doivent produire 2,8 millions masques en un mois.
À voir ici le pays qui aide les françaises.
En 2015, le gouvernement du premier ministre conservateur hongrois avait engagé des détenus pour travailler. Travailler dans le pays pour fabriquer des éléments de la clôture frontalière destinés à bloquer l’entrée des immigrants illégaux.