Des images avec des employés de Zara ont suscité beaucoup de réactions sur Twitter. Les gens se sont vus forcés de dormir sur des morceaux de carton. La raison est qu’on ne leur a pas permis d’en partir avant l’heure établie.
L’indignation des gens a apporté pleine de critiques négatives envers la compagnie et son propriétaire, Amancio Ortega.
Feet will be the head
These are workers in Zara, who are sleeping in the store as they are forbidden to waste time on travel due to increased orders
The photos shops in Spain, not talk about the working conditions at the group’s production plants in Bangladesh.#Zara #spain pic.twitter.com/FXUpL8ZKMR— Anti-Imperialist Front (@_AIF1) January 10, 2021
Le temps très bizarre dans l’Espagne et le phénomène extrême de « Filomena » ont fait des ravages. Les principales routes de communication entre la Péninsule et Madrid ont eu à souffrir. Beaucoup de gens ont été piégés sur les routes, et ils n’ont plus quitté leur boulot.
Apparemment, même si tout le pays était au courant de la situation météorologique, Zara n’a pas permis à ses employés de partir plus tôt chez eux. Ainsi, les gens se sont vus attrapés dans les boutiques et ils sont arrivés à dormir sur le plancher.
Cette attitude de la part de la compagnie dénote une évidente violation des droits de l’homme, même comme le mentionne aussi le journal Guardian.
Il y a aussi de nombreux articles qui visent cette sorte de violations de la part de la compagnie Zara.
Des centaines d’employés de deux usines de Myanmar qui produisaient des vêtements pour Zara ont été licenciés après avoir formé une union.
Zara est impliquée dans un procès de travail forcé en Chine.