Dans plusieurs régions de la France comme Lyon et Bayonne, Rhône-Alpes, Strasbourg, Pau les autorités se sont souvenus des SDF (personnes sans domicile fixe).
Les autorités ont finalement pris des décisions en ce qui concerne les sans-abri.
Vu le fait qu’ils n’ont pas d’hébergement, ils ont étés verbalisés pour ne pas avoir respecté le confinement. Alors, voilà que la COVID-19 n’est pas le seul péril qui chasse les SDF. On a découvert des témoignages d’un travailleur social que : « Cerise sur le gâteau de l’absurde et du cruel, plusieurs personnes SDF aujourd’hui m’ont appelé pour se plaindre d’avoir pris une amende de 38 €, car elles ne respectent pas le confinement… ».
« Mais comment peuvent-ils respecter le confinement s’ils n’ont pas du domicile ? »
« Et tant pis, ils doivent payer une amende. Les conditions de pauvreté, et en même plus la faim, le froid, la rage, la crise sanitaire… Ça les rend plus fragiles, ils ont plus de risque que les autres de contracter le virus. »
Heureusement, grâce aux gens qui ont rapporté cette injustice qui est arrivée aux sans-abri sur les réseaux sociaux, les préfectures de plusieurs villes ont démarré des enquêtes internes pour résoudre le problème des SDF.
Bien plus que ça, l’association Droits d’urgence a créé une pétition afin d’aider les sans-abris. Cela a été consigné par une vingtaine d’organisations telles que La Cloche, Action contre la faim, Emmaüs France ou encore La Fondation Abbé Pierre. De même, Florent Gueguen, directeur général de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), qui regroupe 800 associations de lutte contre la pauvreté. Il a déclaré que : « Nous demandons que des consignes claires soient transmises aux préfets pour que ces sanctions cessent immédiatement ».
Toutes ces manifestations ont fait les politiciens prendre une décision.
Le meilleur exemple serait le ministre de la Ville et du Logement, Julien Denormandie. Celui-ci pour sa part promet que « de nombreuses places d’hôtels sont en cours d’ouverture pour les sans-abris », dans l’Hexagone. Il avait assuré : « Nous mobilisons les hôteliers pour identifier les places disponibles dans tout le territoire ».
Maintenant de plus en plus d’hôteliers se conforment en aidant les SDF.
Alors, cet article a montré une partie négative du coronavirus. Mais on a ici un article sur les aspects positifs du virus.
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