L’Iliade de Homer le Decamerone de Bocaccio où l’Appocalypse de Stephen King
Seulement quelques exemples où la littérature nous montre les réactions de l’humanité dans le cas de diverses types de pandémies. Peut-être on doit faire une relecture de ces œuvres. C’est-à-dire, pour mieux comprendre les réactions en ce qui concerne la COVID-19.
Stephen King a totalement compris ses lectures. En fait, il dit dans son roman d’une Apocalypse. Cela décrit en fait une pandémie qui a décimé la population du monde. L’achat de roman La Peste d’Albert Camus est aussi augmenté.
Mais pourquoi les gens ont choisi de lire Camus dans une période comme ça? Voici les réponses d’écrivain roumain Radu Paraschivescu.
Radu Paraschivescu : Pour se convaincre qu’en fait l’art c’est seulement une imitation de la vie. Parfois on a aussi le vice versa. Quelques-uns ont abandonné la lecture parce que la reflection de leur vie dans les pages de Camus a été beaucoup plus prégnante. Même si on n’a pas de métaphores de ce type dans le livre qui métaphorise en fait le courant naziste.
L’avantage de ce pandémie est qu’elle incite les gens de chercher un bandage psychologique dans ce type de livres. Livres qui sont presque oubliés. Par exemple, si on lit Le journal de la Peste de Daniel Defoe on appris qu’on avait eu presque 100 de décédées au Londres de l’anne 1665.
On lit le Decameronne pas pour l’ammuresement, mais pour la présence de la peste de Florence. Boccacio commence écrire le Decameronne après la peste de Florence. La peste est en fait l’histoire de dix jeunes filles qui se regroupe dans une maison. Elles commencent inventer des histoires en attendant l’arrivé de la peste.
Maintenant on a d’autres options comme celle de rester dans la maisonm Mais, cela est en fait une obligation, donc on lit et on voir des films. Parce que le livre, et l’écran sont les deux outils principaux qui nous connectent a réalité.
L’Iliade de Homer le Decamerone de Bocaccio où l’Appocalypse de Stephen King
Seulement quelques exemples où la littérature nous montre les réactions de l’humanité dans le cas de diverses types de pandémies.
Journaliste : Albert Camus utilise la peste comme une métaphore pour la guerre et le nazisme. Il n’a pas des héros, il a seulement des gens qui accomplissent leur obligation. Le caractère têtue de docteur Rieux qui veut traiter les malades peut avoir des similarités dans la réalité actuelle?
RP : Toutes les personnes qui nous aide a dépassé cette période sont des héros. Commençant par les médecins les assistents les infirmiers et tout le personnel médical. Et on fini avec des coordonnatrices avec toutes leurs erreurs.
Mais, on a encore des gens qui dorment un peu et qui ont des cauchemars. Dans ces conditions, je n’ai aucun responsabilité pour ce type des personnes parce que ma famille est la plus importante. Quand on sent la lumière et l’espoir, on a la tendance de transformer dans des héros les personnes qui seulement accomplissent leur tâches. Mais ce type de tâches sont faites dans une condition de stress qui est beaucoup plus augmenter. Parce que pour un médecin la vraie lutte est avec la maladie avarie et avec des limites psychiques.
Journaliste : Dans le roman de Camus on apprend de ne pas respirer pour prévenir l’infection. On a ici beaucoup d’actualité que dans le cas de distance sociale?
RP : Je ne crois pas que tout le monde lise Camus et je ne crois pas que tout le monde connaisse le film Codin parue dans 1963, où l’action se passe dans le pays de Braila pendant une épidémie d’holere. Ce type de métaphore qui est déjà omniprésente fonctionne meilleur sr papier parce qu’ici on peut métaphorise presque tout.
Journaliste : Stephen King totalement comprendre ses lectures quand ils disent comme dans son roman l’Apocalypse qui décrit en fait une pandémie qui a décimé la population de monde. Quel sera l’impact de ce pandémie sur les générations actuelles?
RP : Je crois que Stephen King n’aie pas le plus pertinent parce qu’il est un titan de genre horreur. À côté de lui il y a aussi Dean Koontz qui a écrit Le Masque, mais aussi tout un série de films sur ce sujet comme Contagion Outbreak ou L’alerte. Je crois que à la fin de cette pandémie ces générations seront plus precautes pour quelques semaines. Toutes les hypothèses liées de fait qu’après ça on sera plus bon, plus doux ou plus empathiques me semble utopique.