Un regard mortel… Tu étais sur le feu de la cheminée dans la braise qu’il a frappé lentement
La peau griffonnait sur toi, et pourtant tu m’avais dans tes yeux bleus moisissure
Tu me poignardes avec un regard mortel
On voit que tu me détestes de tout ton cœur.
Comme votre peau s’est resserrée et est devenue plus forte, ton sang prend une couleur noire aigre comme mon cœur plein de fleurs de moisissure.
Tu marchais sur mon cœur comme un pont triste et poney.
Ta pantoufle marche sur toutes les veines, chaque fleur de moisissure brisée sous votre pied lourd et sale par les tentatives de la vie.
Je te hais et je te souhaite en même temps qu’un enfant qui voit d’abord la mer !
Je déteste que tu m’ecrases bourgeons doux- pourriture, sinistre !
Voilà ce qui me fait ton regard mortel…