On croit, au moins, dans une réalité imaginée. Des idées comme l’humanisme, le libéralisme, la religion, la culture. Ce sont, en fait, quelques histoires bien construites par des hommes. Aujourd’hui elles sont devenues profondément enracinées dans la société, et parfois, elles sont interprétées comme des vérités absolues. Ta réalité est une fiction… Pourquoi ?
Tu te demandes comment est-il possible ?
Raconte-moi ta réalité et je te dis qui t’es !
Bon, une réalité imaginée – selon Yuval Noah Harari, l’écrivain de Sapiens : une brève histoire de l’humanité – est fondé sur une croyance qui à un certain moment deviendra populaire parmi beaucoup de gens. Cela malgré le fait que, objectivement parlant, cet objet n’existe pas vraiment. Au moins, on ne pourra pas le percevoir au moyen des organes sensoriels.
C’est pas un mensonge, mais une notion créée par l’humanité. C’est une idée répandue très vite. Allant d’être interprétée comme une vérité, en dépit du fait que, dans plusieurs situations il n’y a pas des preuves. Des preuves pour ou contre à soutenir/rejeter cette croyance. Bref, il y a une simple histoire répandue par une personne ou un groupe de personnes, parmi les autres individus.
Des bonnes histoires versus des réelles histoires
À partir de l’affirmation ci-dessous, on constate qu’il n’y a aucune histoire qui soit vraie ou fausse, mais on pourrait parler des histoires su bien ou du mal.
Je veux dire que, puisque l’imagination collective a diffusé toutes ces histoires de génération en génération… Comme sont, par exemple des coutumes, des habitudes et beaucoup d’autres. Cela signifie que ce sont relatives : pour certains en sont réels. Mais pour les autres elles n’en existent pas. Pour la deuxième catégorie, elles ont de la valeur, car une majorité les leurs a offert. Par exemple, les chrétiens n’acceptent pas l’islamisme.
L’humanisme, le marxisme, le nationalisme, le capitalisme, la religion – toutes sont des réalités imaginées.
La pensée « qui place l’Homme et les valeurs humaines au-dessus de toutes les autres valeurs ». Ou que le prolétariat doit mener. Ou la pensée sur l’existence d’une nation ou que le monde est conduit par une divinité suprême… Jusqu’à la conviction selon laquelle la consommation détermine le progrès de la société. Ci-dessous, j’ai énuméré plusieurs histoires collectives qui ont été crues au fil du temps.
Une réalité imaginée n’est pas toujours quelque chose destructif
Grace à elle, on a réussi à créer des histoires. On a établi des mythes qui nous ont guidé à travers le temps.
Ces mythes ont lié l’humanité (ou l’ont séparée, ça dépend)
Par exemple, d’après la « Déclaration d’indépendance » des États-Unis, toutes les personnes sont égales. Cette pensée provient de la chrétienté, qui dit que « toutes les âmes sont égales devant Dieu. »
Donc, des personnalités comme Thomas Jefferson – un des pères fondateurs des États-Unis, ont été sûrs de ce vérité, en l’étendant dans la politique et dans la société.
C’est ainsi qu’elle est née la conclusion selon laquelle les hommes ont certains droits naturels essentiels et inaliénables.
Des histoires (comme cela) sont fondées sur des opinions. Elles devinent plus et plus solides, elles se propagent parmi plusieurs personnes, en les attirant. En effet, elles ont devenu des instruments de manipulation.
Nous offrons à l’argent la puissance ou l’argent nous offert la puissance ?
Et voici, c’est le mythe que j’adore :
Prenez le cas de l’argent, qu’est aussi une réalité imaginée. ? Mais, qu’est-ce que c’est l’argent, après de tout ? C’est un simple moyen à l’aide duquel on peut transformer des produits d’une forme à l’autre, ou en d’autres termes, on peut le manipuler.
Que donne la puissance de l’argent ?
Premièrement, ta croyance en lui. Logiquement, un papier écrit avec des nombres ne peut pas avoir que la puissance offerte par une personne. En ce cas, l’humanité.
Ta réalité est une fiction. Mais savez-vous ce qui n’est pas de fiction ? Le fait que vous pouvez vous réunir avec la personne que vous aimez ! Lisez cet article si vous voulez savoir plus à ce sujet !
Ensuite, des politiciens, des économistes, des employés ne les croyaient pas… Ils vont disparaître. Car au le moment où quelqu’un perd sa pensée en quelque chose inventé par lui, cette chose cesse d’exister. Soudainement, le monde perdrait un moyen important de manipulation.
Est-il le réchauffement planétaire un mythe ou une réalité ?
Si tu n’es pas encore compris, c’est qu’est la réalité imaginée, je te donnerai un contre-exemple : le réchauffement planétaire.
Peu importe qu’on choisirait de s’arrêter à l’admettre, le phénomène ne disparaîtra pas. Par contre, si l’on ignore, toutes les actions, comme la sous-couche d’ozone ou la fonte des calottes glaciaires, continueront.
On parle de la réalité objective (la nature, le réchauffement planétaire, etc.). Son impact ou son importance est établi en fonction de la réalité imaginée de laquelle on parle. Actuellement, des entreprises comme Google, Facebook, Peugeot SA, gagnent beaucoup d’attention et de puissance. Celles-ci appartiennent à la catégorie des fictions judiciaires.
On veut ou non, ils conduisent progressivement le futur de la réalité objective. Une des parties des décisions que les prennent, les affecte.
La conclusion ?
Par conséquent, une transformation commence quand on le croit. Dès ce moment, on écrit une nouvelle histoire assez convaincante qu’on ne détermine pas à faire quelque chose.
Plus précisément… La chrétienté. Il y a 2000 ans elle n’était qu’une secte ésotérique de Juifs en Palestine. Aujourd’hui elle est devenue la plus répandue religion de l’humanité.
Bref, qu’est-ce que nous arrêtons de commencer un changement essentiel ?
La réponse : une histoire à laquelle on ne croit pas suffisamment.