Nous ne savons plus, surtout de nos jours, ce que signifie aimer la nature. Nous savons seulement nous moquer de sa beauté et de ses ressources, chasser les animaux et les capturer pour nos motifs égoïstes. Dans quel monde, nous, les «gens» (si nous pouvons nous appeler ainsi) vivons-nous?
De quelles actes les gens sont-ils capables de faire?
L’association de défense des animaux PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) révéle des images de singes capturés illégal. Maltraités. Dressés pour cueillir des noix de coco, en Thaïlande. Dans une enquête démarrée par PETA, publiée le 3 juillet dernier, l’association, qui a visité huit exploitations , a affirmé franchement que les animaux vivaient dans des conditions inhumaines. L’association a affirmé dans un interview :
“Privés de la possibilité de se déplacer librement. De sociabiliser avec les autres. De faire quoi que ce soit d’important pour eux, ces animaux intelligents perdent lentement la tête. Poussés au désespoir, ils font les cent pas et tournent en rond sans fin sur les parcelles de terre. Cela sans aménagement et jonchées de détritus où ils sont enchaînés.”
Ces singes ont été illégalement enlevés de leur famille et de leur milieu naturel. Ils ont été obligées de porter des colliers métalliques rigides. Et ceux qui est pire maintenant suit. Les petits animaux étaient gardés enchaînés ou attachés jusqu’à ce qu’ils ne soient plus utiles à l’industrie de la noix de coco.
L’homme a perdu son humanité ?
En temps que les autres gens sont révoltés par ces actions brutalles face des ces animaux torturées, de côté des ces hommes sans pitié. C’est aussi le gouvernement thaïlandais qui semble soutenir ces exploitations. Boonyarit Kalayanamit, le secrétaire permanent du Commerce, a affirmé clairement et sans doute que “les propriétaires de singes n’avaient pas abusé ni exploité les animaux qui avaient été dressés sans cruauté pour cueillir des noix de coco”.
Un propriétaire de singes a dit dans un interview qu’il n’y a aucune maltraitance. Et que les singes “sont traités comme des membres de la famille”.