C’est une nuit noire comme le poix. Sur le ciel on a seulement quelques étoiles. Elles n’étaient pas cachées sur la toile des nuages. Pendant le mauvais herbes et les arbres vraiment noirs qui semblent comme un vieux infirme on a seulement un petite chemin. Est-ce que c’est un rêve ?
Dans ce tableau lugubre on a seulement un ombre mince et faible.
On peut distinguer un soutane sale, bâclée qui brandit dans le vent. Son mouvement c’est lent paresseux mais encore rapide à cause de froid.Le soutane stoppe les mouvements de temps un temps et notre personnage doit enlever le matériel de ses pied nues. Son visage et plein de rides qui semblait comme de taches visibles de fait qui tout les souffrances de le corps ou de l’âme on été pour LUI .
Les yeux – témoins des beaucoup plus larmes bloquées dans une douloureuse crispée tout comme la bouche. La bouche…témoin des prières infinités enflammées et déchirâtes et d’un rougeur faible s’evidencie. Par comparaison, le reste de visage qui semblait entourée par l’obscurité.
Voilà, donc, le chemin de cet ombre bizarrement iluminée.
Soudain, il se sent inondée par des doutes tout comme le bois inondées par des caries. Il marche et il attends. Et après ça, il marche et attends encore. Par chaque mouvement il entre beaucoup plus dans un infinie inconnue et indésirable. Mais il aime en fait ce type de infinit. Et son amour est assez grand que ce type d’infinies représente maintenant sa seule existence et qui a rester son seul source de lumière.
A côté de lui, il voit seulement des yeux et des bouches enflammés par le désir de le faire disparaître. Il peut sentir la souffrance des arbres brûlés, les grand orages là-haut de sa personne. Dans ces moments, le seul sonne de l’espoir c’est en fait le sonne de cloches de la petite monastère.
Et ah, la petite monastère! Après la Carême et le retour dans ses environs son visage semblait entourée d’un gaie immensurable. Dans le soir pendant aux Complies tout semblait entouré de l’obscurité. Seulement les moines qui marchent vers l’église avec des lumière dans les mains. Il semblait avoir vaincu l’obscurité. Quand il est entré l’arôme de l’encens l’invadée et lui provoque des sentiments impossibles à décrire. La grâce de Dieux entoure le corps et l’âme de ce fille de Dieux qui est maintenant heureuse.
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Ah, la petite monastère !
Après le Complices et Matines Laudes qui le préparés pour son entrée dans Le Ciel par le Messe l’ancienne ombre c’est maintenant complète. Il change sa soutane il protégé son corps et son âme et il marche attentivement vers les portes de monastère en sentant le chaleur de soleil. Il se prosternent vers Dieux il prit ses chapelets et il commence son prière.
« On va continuer notre prier» la voix douce de diacre se faire entendue au delà de visages de moines qui attendent la grâce de sa voix. Le moins prient, prient et prient encore et son âme pleure. Quel bonheur! Que le Dieux ait pitié de moi!
L’auteur : Robert Manea.